1. |
Voué aux Enfers
02:22
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2. |
Extinction
05:23
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Face à un ocean bordé de ses tempêtes
Où notre sort découle de par nos actes
Je m’enfonce dans les toiles du passé
qui m’entraine dans les entrailles de ma conscience
Dans le froid paralysant
Des larmes de notre histoire
Je contemple dans le miroir d’eau
Mon reflet qui s’évapore
Dans un ciel assombri de désillusions
Où la lumière semble emprisonnée
Je me laisse dériver
Dans les abysses de mon destin
La lumière de notre futur
Reside dans nos oeuvres
Elle balaye le noir
Qui recouvre les lèvres
De mon dernier sourire
Et irrigue l’espoir
Du chapitre final
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3. |
Voyage Lunatique
07:06
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Les yeux fuyants
À travers mes souvenirs
Le temps s’est gelé
Dans l’orage de mes pensées
L’encre de mes mots
N’a plus de regrets
Je me laisse submerger
Dans le fleuve de mes idées
Tel des larmes d’asphalte
D’un futur embrasant
Qui coure après un sourire effacé
Un ouragan
de larmes et de cris
A rempli les craintes
de mon armure fissurée
Mes rêves sont devenus si fragile
Je caresse la chimère d’un monde nouveau
Je me laisse aspirer
Dans le trou noir de mes désirs
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4. |
Les Enfants de Lumière
07:12
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Dans l’ombre de l’horizon
Du reflet des hommes
Et de leur conscience
Dans la lumière
Du réveil des âmes
Qui se soulèveront vers la raison
La terre s’essouffle
De ses tempêtes qui souffrent
Le cri des innocents
Résonnent dans tout nos sens
Les racines se meurent
Arraché de leurs morales
Assoiffé par des océans avides
Le soulèvement
Des âmes perdu
Le soulèvement
De Gaïa
Nous sommes
Les ombres de l’espoir
Les gardiens des océans
Les vents du changement
Nous sommes
Les racines de la terre
Les tempêtes de la raison
Les enfants de Lumière
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5. |
L'Éveil
07:59
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Une nappe sombre
Entraine mes pensées
Dans un brouillard
Pesant / Apaisant
Je plonge dans la nuit noire
Je plonge dans la nuit noire
D’une histoire éternelle
Les feuilles mortes éparpillées
Sont mes souvenirs du passé
Qui s’échappent
Dans un murmure silencieux
Et m’entraine dans
Un tourbillon d’illusions
Mes tourments s’envolent
Portés par le vent d’un autre monde
Le reflet de mon imaginaire
Perdure l’ombre de mes rêves
Le temps n’existe pas
Le temps n’existe plus
Dans le mirage de mon existence
J’abandonne mes fantômes
Dans le cyclone de mes cauchemars
L’infini de ma conscience
M’ouvre les portes d’un horizon éternel
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